Album du Figaro, N° 18, printemps 1949

6R PARIS PRESCRIT Le jour comme le soir les robes sont asymétriques, elles ne sont plus coupées mais enroulées, repliées et boutonnées. La taille est toujours à sa place, fine et bien prise. Les jupes sont légèrement raccourcies. La silhouette est plus vague. Des chapeaux très petits ou très grands. Le corsage à poches décollées et haut placées. Le coude nu : le gant ne rejoint jamais la manche souvent très courte. Des bas fumée, les bas chair sont proscrits. Des chaussures classiques à bouts fermés. Les cheveux courts, brossés en coup de vent. Des colliers larges, plats, formant plastron. Le boléro, noué sur le côté, dégageant une épaule De longs gants d'antilope gainant le bras avec souplesse. L'extrême légèreté de l'escarpin. .tCLA.TEl''T Ct:P&'\'DA~T Al/PllM DE LA CLASSIQUE TRILOGIE, 1':0IR, MARIXE ET DLA..'\'C. BIJOUX CAJIT!lél:, GANTS L. LB GRA!\ [), UlAUSSUl!.l'.S GF.ORGETill. 69

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