84 s.A..S. H,U:WJEK 111, PKl~CE DE MO~A.CO. Ses 26.000 monégasques l'appellent toujou~s • le pe_lit Prince » com_me au temps o_~ sa nurse était son seul suJct. Depuis... que dll chc1n ,n parc?uru ; Eton, !~s1:..~1i·~:tlil~W'.à::\;;i,,:i:-:i~j;}rt1f~:ifIJ}:;;~;.Y\11:: Chiron (à droite sur la photo). Son violon d'lngres ; une bat1erie de /!zP.ri~;~~s 1t~i~ 1 tet'i Wc~:,~~é~i~~{ 1 ~~\~ ;~a::J.;;;~ictc ':]~i;:·ie to~i~ 1 if;1~c~ Monaco. Un vent de jeunnessll va, dit-on, souffler hardiment sur la politique intérieure du petit peuple qui ne paye pas d'impôts. .IIOSETTE CLA.'\"U'.K. Pour al'oir dansé « Entre deus i~1:1i~z:1~~0 J1}! it::~t~1~~s :~ïta~~1'.:11} 1~::~~f :i~;'. 1~E~~ les usages fra11pés d'entorse ont dû céder le pas_ à une telle inconscience. Le public a plébiscité !a petite :~~\~otp~~~:~ 1;i~:;~~ S~~ d~;1:t,~1:~c~ 11~r~:::ir/~:.S j~t~~~'~r;;:. ~il I~:\;:~:K~~},~it;;~;i\?t:~tl}Jl[r::~: ment, elle n'est que lu Sommimlwle. Un fantôme d'amoureusll, merveilleux il est \'rai. Conslamm<'nt :~rr~)l~tà~~ zn11cs:~t•e~: s:f1~ ~~?n~nle1.:ri1~!nr~ 1 1l~~ ZAUIU ~ E . Une grande exposition \'ient de réunir au àlusée f,'.:::~u~'.01~~11 ~111! 01 ~:1~>uo~- 1 ;~s ddl:~1:~érl~;~~ {~sqi~'\•Zt~sit d~6?~~~: ;i:::l;iiif II;:f {;)1:l:}f t~:}}~~~EJit'.~1~H:}{~{:}ii~li tales ligures, n•ssemble à une forêt. Et son visage aux t,·aits si i,xprcssifs semble a\"oir été sculpté p:ir l11i-mê111e. Parmi ses œ111-ri,s récentes, La Prisonnière, les Acrobates, lu Naissance des formes marquent l'é\'olution remarquable de son œu\'rc 85
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