bro.m, ou rêversibles à la double et moêlleuse épaisseur, excluent le froid. Les fourrures, comme ces lainages, sont douillettes. C'est l'astrak_an, le caracul, la loutre, l'ocelot, le nutria. Le renard refait une timide apparition. On s'enroule dans ces manteaux, on sy enferme aussi à double rangée de boutons. Les vestes gardent les mêmes emmanchures et les mêmes hanches. Ces vestes sont de toutes les longueurs, s'arrêtant au coude, au poignet, à la hanche, au genou. Les plus nouvelles sont des blousons ou des presquepèlerines, avec des poignets. Comme les vestes, les pèlerines sont de toutes les longueurs. Les plus courtes ne sont que des collets ronds, et les plus longues tombent jusqu'à l'ourlet. Ce mouvement de capes se r:etrouve aussi sur les robes, sous forme de grands panneaux partant de l'encolure, dans le dos, et retenus par la ceinture. Peu de tailleurs vraiment classiques. Le confortable attrait du taiUeur de cet hiver est d'être aussi souple qu'une robe. Il est, en fait, un deux-pieèes à blouse LJ/i BLOUSON. ROBE.RT PIGUn LA VESTE BLOUMA,VTE. CHRISTIAN DIOi\. LEtfl FAVSSES LONGVEURS DU solll• CHRISTIAN DIOR. paysanne ou estudiantine, l'ampleur resserrée à la taille par une ceinture souvent nouée. La basque froncée, parfois même tre's froncée, fait contraste avec la jupe étroite. Souvenirs d'anorak_s et de canadiennes, inspiration
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