CEUX DONT IL FAUT PARLER ~IAIU:El. 1. 1<'. 111.EUSE.. Parce que, ;'t dix- :,~1~:ea~~• 1-~:!~1e:. 5t ccl~e 1 j~~fe j;;1~d~1cftt~:~ une jeune fille comme les autres, rêvant au :::~~1~ 1 .:71e l':r~co~~-~gc::t:t dé1I; 11i:i't :rrtr~ u~: hHpt,•mc de l'air uux dl'ux petites sœurs : Chrislianl', onze uns, et Maud,cinq semaines. llOGEll TOUCHA.HP. Paret: qu'il è'st le N'ICOLAS Ul\°TERS'l'EI.LElt. Parce qu'il n révolutionné l'Ecole des Beaux-Arts, dont il est le nouveau directeur. Il dut en1rer en guerre contre lu 11l11pa1·l de ses confrères de l'Institut (dont il est un des plus jeunes membres) ~~ur,/t~:1~a;I~11~i. 11 1J~i'\~sl~!'.jf 1 :t:~::~;l~l ii~1:~1r":: 1~:à~t 1!~'J; J~trt 1 ~1~:1e1::~1~11 1f~f.1 \,il~ ~:~ 1 r~t l~~~t.(l d!rl 1::fti:n~,'i't, '\ic~ir lui-même êlève des Beaux-Arts. C'l'sl là qu'il connut sa frmml', peintre comme lui. Prix de Home l'n 1928, puis professeur de frrM1ues, il tnwaille actucll.•mcnt à de~ vi1rnux pour un \"illagc de .\!osellc, sa terre nalalc. ?l
RkJQdWJsaXNoZXIy ODcwNTE=