Album du Figaro, N° 23, avril-mai 1950

...VENDREDI SOIR EN SMOKJNG Il semble que ce soit pour les soirées du vendredi, jour de prédilection de l'élégance, que les couturiers aient cru leurs robes les plus parisiennes. Elles ont trois longueurs: à terre, à la cheville ou courtes. Elles nt deux lignes: collante ou très évasée. Leurs oies, opaques ou diaphanes, sont toujours légères. Le noir est l'allié du blanc et des couleurs tendres. Ces robes, photographicrs chez. Gilles, au cours du spectacle GrcnicrHusscnot, en sont trois exemples typiques. A gauche: Celle de Balcncia~a retient à l'encolure un drapé en forme d'ailes et porte en arrière de longs pans flottants; Christian Dior les jette et les noue sur une robe courte et ample. A droite: Gaine ~mbrc, la robe de Jacques Fath s'épanouit sur l'épaule en un unmcnsc: éventail de tulle plissé, dégradé du bleu lapis au blanc. 9>

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