Album du Figaro, N° 30, juillet-août 195

.I IUO U• 1#11Î.mt d 1,4,u/r,, Elk h U•}'Je dt dt•x lff"/1 de 1,4,;.,,,,11, l&al"1mi1 •ttrutu, do111 I'•• ,111,pln1be /'a1n. ÀJICW# tKbtldlr t1'A l#fO'lf OJI /n,. '"'brrr de ttltt ;,,,.,,,ut 6araqu olml•11md i11hobitablt, El r,iû q11'11• j,,,rl't11rd'"'x, ,1IJ11it pari, }'4Jl"I'• .,.;, "'"" CM} d'~I h µ,,; 'l*" t«'"aitIÎrtrdtrrltttartaJJt. M•l&rl ks tr&n!tt«II, ,/ 1t n,tt à 1'11t1111Tt. .. D'UNE DE C'est la maison d'un artiste parce: que tout y est d'un So'1t excellent et c'est l:t mai.son d'un s:igc parce qu'cUc ot de proportions modestes et qu'elle ne vLSC point à éblouir. c·est aussi la maison d'un homme qui sait donner COtp) à ses rtvcs. En 1940 M. Rogcr Vivier se promenait dans le charmant village de Mougins quandses pas Je condw.sirem devant une maison délabrée au fond d'une rudle tortueuse. Dt l'autre: roti, «ttc vieille b.iûsse prenait jour par d'étroites fenêtres sur un paysage adminblc. Le visiteur fut stduit par le contraSte de ces deux façades, l'une donnant sur une venelle et l'autre sur un boriwn provençal. et il acheta cet édifice: bran)ant. Jl ne lui restait plus qu'à renouveler le mythe d'Amphion qui charmait les pierres. Cclles•ci Ju1 , rIEil.,LE MAlSON VILLAGE... LA CUl81NI:: liil Lt bJtimn,t d• prtmi,r pla•, lr4•S• f"'1thll t,a"s6"'"' ,,uti~l,d',vm~ ntt,rlc •l1111tt•11•1 la ttrrtUst 111r ltMfwllc do«ru /11 wttlÎJt# J'hllbi1111•• ram11& .¾ rlu JroJ•rl;,., Jlfl.l bw"'4itHJ. Lu a11âtuu ftJJilrtl s•,n ::::~,.::!:'Cr ~~c;,;~,'",.,;~':; ,; Jlû« tk d,a,,,,,, 1ow1 faits lll'tt)tJ atitrt#U pitrn1 dt la •aisort ;,,;,;.11/,. obéirent à merveille et peu à peu ccuc antique architecture fit place à une dcmcutt confortable, cnsolcllltt, et dont chaque piè« c.st orientée sur le pa.ysagc environnant. En dix ,ms de tra,,aux et de soins elle est devenue La mai.son b plus curieUS< du pays où le luxe le plus rafinl ,c dissimule sous de, dehort villascois. Son propriltairc, M. Roger Vivier, qui est le moddistc de la plus srandc finne de chaussures des Eous-Unis, y passe b plus grande partie de l'am1tt et c'est dan$ cc Mcor si typiquement français qu'il dCMinc les roodèlcs que poncront la saison ;uiv>ntc: les éllgantes de Ne•-Yotk et de Los Angclès. .,

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